Retour à « l’école péripatéticienne » ?
- unjourparfaitpour
- 31 mai
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Dernière mise à jour : il y a 2 jours
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi certaines conversations semblent ouvrir les portes de la réflexion… tandis que d’autres claquent la porte au nez de la créativité ?
C’est en marchant, parfois en flânant, que les idées apparaissent. L’école péripatéticienne, ce courant philosophique qui a vu le jour sous l’impulsion d’Aristote, nous rappelle combien le mouvement, la curiosité et la rencontre de l’autre sont essentiels pour grandir ; individuellement et collectivement.
C’est souvent en me mettant en mouvement et en me déplaçant que m’apparaissent de nouvelles idées, de nouveaux points de vue et de nouveaux projets.
Cela nous rappelle qu’à trop vouloir structurer, normaliser, digitaliser, on en oublierait presque l’essentiel : l’humain, avec ses imperfections, ses fantaisies, ses angoisses du dimanche soir, ses questions existentielles du lundi matin, et sa capacité à réinventer le monde autour d’un café, ou en marchant, tout simplement.
Au fond, la démarche péripatéticienne, ce n’est pas qu’un vieux souvenir de nos manuels de philosophie : c’est un état d’esprit !
Oser remettre en question nos certitudes, s’enrichir des différences, confronter les points de vue sans juger, pour mieux co-construire l’avenir. Il n’y a pas de hasard, que des rendez-vous. Et parfois, il suffit d’une conversation authentique pour enclencher le changement, dans une équipe comme dans une organisation.
Ma conviction ? Plus que jamais, nos entreprises, nos projets, nos vies ont besoin d’échanges sincères, d’un zeste d’audace, d’une pincée d’autodérision… et d’un bon bol d’humanité.
Marcher côte à côte, c’est peut-être le meilleur moyen d’aller loin ensemble.
Et vous, prêt(e) à (re)devenir un(e) péripatéticien(ne) du XXIème siècle ?
