La perfection n’est pas de ce monde, mais l’amélioration continue, elle, si…
- unjourparfaitpour
- 23 mai
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : il y a 5 jours
La perfection n’est pas de ce monde, mais l’amélioration continue, elle, si… et elle ne connaît jamais de pause !
Alors, ce matin comme régulièrement, je prends le temps de faire un point sur les évaluations transmises par nos apprenants et nos formateurs.
La qualité n’est pas un slogan accroché au mur ; nul besoin de l’afficher. C’est un art de vivre profondément ancré dans la culture d’entreprise du cabinet dans lequel j'oeuvre au quotidien. C’est une valeur impulsée avec force par son fondateur et soutenue naturellement par l’ensemble de ses collaborateurs, parce que nous partageons tous la même vision de notre métier, de nos missions et notre impact sur notre entourage et notre environnement. C’est notre ADN.
L’amélioration continue, « c’est comme le bon vin » : elle demande de la patience, de l’attention et un brin de remise en question. Ici, chaque retour client, chaque remarque, chaque suggestion, c’est une véritable pépite d’or pour nous.
Derrière le fameux questionnaire de satisfaction (oui, celui que tout le monde doit remplir après une formation), se cache une mine d’informations pour progresser, ajuster, affiner. Cela va bien au-delà d’une exigence Qualiopi ou d’un simple process administratif : c’est le carburant qui alimente nos réflexions et nos orientations.
Ce qui fait la différence ? C’est l’écoute. Pas seulement celle des clients, mais aussi celle des formateurs, des partenaires, et de toutes les personnes, entreprises et institutions qui vivent l’expérience de nos formations. Il serait bien prétentieux de croire que l’on détient la vérité sur tout : c’est en écoutant, en observant les évolutions, en décortiquant les feedbacks (qu’ils soient élogieux ou piquants), que l’on construit des offres vraiment utiles et pertinentes.
Alors oui, parfois il faut accepter de se dire et de se rappeler que tout n’est pas parfait (d’ailleurs, rien ne le sera jamais), et de transformer cette imperfection en une opportunité de faire mieux. C’est là que l’humilité rejoint la lucidité : appuyer sur ce qui fonctionne, changer ce qui doit l’être, et ne jamais s’endormir sur ses lauriers.
Être à l’écoute, ce n’est pas juste « cocher une case ». C’est vital. Vital pour l’utilité, la reconnaissance et la légitimité de nos formations, pour le développement de nos offres, pour la pérennité de notre cabinet, et entre nous, pour rester humain, tout simplement.
Et n’est-ce point là l’essentiel au fond ?
