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Et si nos pensées profondes étaient les vraies commandes de nos émotions ?

  • unjourparfaitpour
  • 18 avr.
  • 1 min de lecture

Dernière mise à jour : 5 août

J’ai rencontré ces derniers mois des dirigeants, des managers, des collaborateurs brillants, compétents, motivés… mais paralysés par des émotions qui les débordaient. Stress, colère, découragement, peur de ne pas être à la hauteur. Et, quand on gratte un peu, on découvre que ces émotions ne sortent pas de nulle part et ne se manifestent pas de manière aléatoire. Elles sont nourries par des pensées bien installées : pas toujours conscientes, pas toujours logiques, mais terriblement influentes !


Un exemple ?


Si je pense que « je n’ai pas le droit à l’erreur », je vais générer un stress disproportionné à chaque prise de décision. Et cette état émotionnel va influencer mon comportement : procrastination, rigidité, contrôle excessif… et on connaît la suite, non ?


Nos pensées créent notre météo intérieure. Et cette météo conditionne nos actes, nos réactions, notre façon d’être : je pense, je ressens, j’agis (sans m’agiter ?).


Et si, plutôt que de chercher à « changer » nos actions, ou à vouloir contrôler nos émotions, nous commencions par nous poser cette question essentielle : « Quelles sont mes pensées limitantes ? »


Ce travail sur les pensées n’est pas un gadget de développement personnel. C’est une compétence, une posture, une hygiène mentale. On apprend à questionner ses automatismes, à prendre du recul, à se réapproprier notre gouvernail intérieur.


Et à ce moment-là, la transformation devient possible, durable… et souvent plus douce qu’on ne l’imaginait.



Et si nos pensées profondes étaient les vraies commandes de nos émotions ?
Image générée par IA

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