Et si le chemin le plus important était celui que l’on parcourt à l’intérieur de soi ?
- unjourparfaitpour
- 19 avr.
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 5 août
Certains matins, il suffit d’un rayon de soleil ☀️, d’un souffle d’air 🌬️ pour comprendre que l’essentiel est là, juste sous nos pas 👣.
Il y a ce chemin, solitaire mais paisible. Il y a ce marcheur, silhouette droite, qui avance sans hâte. Il y a cette lumière, douce mais puissante, qui semble l’appeler sans l’aveugler. Et puis, il y a ces trois oiseaux. Guides ? Compagnons ? Reflets de nos pensées en quête de liberté ? Peut-être un peu tout cela à la fois.
J’y vois une métaphore puissante de la vie professionnelle, bien sûr, mais surtout de la vie intérieure. On marche souvent seul, oui, mais jamais vraiment sans soutien.
Ne dit-on pas que la vie est un parcours initiatique individuel au sein d’un collectif ?
Il y a toujours une présence réelle ou symbolique, une idée, une intuition, un souvenir, une croyance, ou une inspiration qui vole juste au-dessus de nous et nous accompagne. Parfois visible, parfois discrète, mais bien là.
Et si avancer, c’était justement ça : marcher vers la lumière tout en acceptant de ne pas tout comprendre, de ne pas tout maîtriser ? Accueillir les zones d’ombre et le flou comme un espace fertile, un entre-deux, entre ciel et terre, entre décisions rationnelles et élans du cœur ?
Ce chemin, c’est peut-être celui du sens. Celui que l’on trace pas à pas, entre valeurs, doutes, engagements et aspirations profondes.
Et il me rappelle ceci : dans un monde où tout s’accélère, où le bruit et le brouhaha dominent, au final, il est précieux, et même vital, de savoir encore marcher.
Marcher pour penser.
Marcher pour sentir.
Marcher pour se retrouver.
Marcher… pour être libre !
Et vous, êtes-vous en marche ?
