Et si la mer n’était qu’un miroir de nous-mêmes ?
- unjourparfaitpour
- 13 juin
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Dernière mise à jour : il y a 2 jours
Un simple regard posé sur la mer, et tout bascule. Sous la surface, ce ne sont pas seulement les vagues que l’on contemple, mais aussi nos propres reflets, nos questionnements, nos aspirations, nos doutes parfois.
Carl Gustav Jung disait avec justesse : « Ce que nous voyons dans la mer, c’est souvent ce que nous portons en nous-mêmes. Devant l’infini, l’âme s’explore. »
Qui n’a jamais ressenti ce besoin de s’arrêter, de souffler face à l’immensité, de laisser le tumulte du quotidien se déposer comme le sable après la tempête ?
Dans la vie professionnelle comme dans la vie tout court, prendre le temps de regarder la mer, c’est accepter de s’explorer, d’accueillir ce qui remonte à la surface : valeurs humaines, nos limites, nos élans…
Ce sont eux qui font de nous des hommes et des femmes uniques, capables d’inspirer et de fédérer. C’est là, entre deux marées, que naît la vraie force d’un leader, d’un manager, d’un collègue ou d’un coach : dans la capacité à se relier à soi pour mieux comprendre l’autre, sans fard ni façade.
Dans notre monde connecté, nous courons parfois (voire souvent) après l’instantané, l’efficacité à tout prix, la performance. Mais la richesse, la vraie, ne serait-elle pas de rester humain, de cultiver l’écoute, la simplicité, l’empathie ?
Être professionnel, c’est aussi savoir lever le pied, observer, ressentir, accueillir la diversité des personnalités et des parcours.
J’ai la conviction que c’est dans ces moments d’introspection, même furtifs, même silencieux, que l’on trouve l’audace d’innover, la sagesse de décider et la liberté d’agir.
Et vous, quelle mer portez-vous en vous ?
Osez partager vos ressentis, vos expériences : c’est souvent là que commence le vrai voyage, celui vers soi… et vers les autres.
