Ce qui compte, ce n’est pas ce qui nous arrive mais ce que nous en faisons !

Voilà une vérité qui secoue, surtout quand on affronte des vents contraires et, pour celles et ceux qui me connaissent depuis longtemps, vous le savez, je sais de quoi je parle ; j’ai traversé plus d’une tempête.

Et c’est pourtant dans ces instants où tout vacille, où l’obstacle s’impose, où nous sommes terrassés, que naît l’opportunité de rebondir, de se réinventer, et d’avancer plus grand.

J’ai souvent vu des êtres brisés renaître plus forts, des équipes fatiguées retrouver l’élan, des projets dérailler puis s’aligner avec encore plus de sens.

Parce que l’humain n’est pas un robot : il doute, il tombe, il trébuche, mais il apprend, il s’adapte, il grandit.

C’est là que réside la beauté du vivant.

🤍 Ce qui me touche dans notre époque, ce n’est pas tant l’accélération du temps ou la complexité des choses, c’est notre capacité à répondre à tout cela avec du cœur, à remettre de « l’âme » là où il n’y avait plus que des indicateurs, à oser parler de vulnérabilité dans un monde qui valorise encore trop le paraître.

La résilience n’est pas une mode, c’est une posture, une façon de regarder ses cicatrices avec compassion, de comprendre que nos « histoires cabossées » ont aussi leur noblesse.

Elles font de nous celles et ceux que nous sommes.

Alors non, je ne crois pas aux héros parfaits.

Je crois aux êtres humains imparfaits, mais debout.

À celles et ceux qui, au lieu de se refermer, choisissent d’ouvrir : et si nous faisions de cette philosophie un moteur collectif ?

Pas pour paraître, mais pour inspirer.

Pas pour convaincre, mais pour relier.

Alors, inspirons, relions, et rayonnons.

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